L'authenticité, c'est surfait. Faut voir ce qui fait le plus de clics, Coco. La densité, c'est du chiffre, donc potentiellement vendeur. Vends du rêve, pas du vécu !
Euh, vendre du rêve c'est une option, mais je pense qu'il y a moyen de faire les deux, non ? Les chiffres c'est bien pour se donner une idée, après faut quand même que les gens vivent une expérience... Enfin, c'est mon avis, hein !
Du coup, Coco, tu penses à des pays en particulier avec ta question ? Histoire de voir si on peut te donner des exemples concrets, parce que la diversité culinaire, ça dépend aussi de l'histoire du pays, pas que de sa densité, non ?
Oui, tout à fait AventureEclaire72, tu as raison. En fait, je me demandais si par exemple, un pays comme le Bangladesh (très dense) offrait plus de "surprises" gustatives qu'un pays scandinave (beaucoup moins dense). Est-ce que la concentration de population crée une émulation culinaire, ou est-ce que l'histoire et les traditions priment, comme tu le dis ? 🤔 Je me pose la question pour adapter mes circuits, en fait. Faut-il privilégier la diversité "brute" ou l'authenticité historique ? C'est le serpent qui se mord la queue ! 😅 J'espère que c'est plus clair ! 😇
Juste pour être sûr, Coco, quand tu parles d'itinéraires gourmands, tu vises quel type de clientèle ? Plutôt le voyageur aventurier prêt à manger dans la rue, ou le touriste qui préfère les restos plus... disons, occidentalisés ? Parce que ça change pas mal la donne, niveau "authenticité" et "diversité", non ?
Richter, excellente question ! 👍
En fait, je cible les deux, mais pas en même temps ! 🤪 J'ai une gamme "AventurePapilles" pour les premiers, ceux qui veulent tester des trucs improbables et se fondre dans la culture locale (enfin, autant que faire se peut). Et une gamme "SaveursduMonde" pour les seconds, ceux qui veulent découvrir des cuisines étrangères sans trop s'éloigner de leurs repères. C'est pour ça que la question de la densité me travaille, en fait. Est-ce qu'un pays très dense propose plus d'options pour les deux gammes, ou est-ce que l'histoire et les traditions (et donc, potentiellement, une densité moins forte) sont plus intéressantes pour les "SaveursduMonde" ?
J'espère que c'est plus clair, maintenant ! 🤗
Ok, donc deux clientèles bien distinctes. Dans ce cas, peut-être regarder au-delà de la densité, et te concentrer sur les influences historiques et les ressources locales de chaque pays ? Pour les "SaveursduMonde", tu pourrais même mixer les deux approches, non ?
Attends, Alice Dubois, mixer les approches, oui, mais comment concrètement ? Parce que le risque, c'est de perdre les deux clientèles, non ? Ceux qui veulent de l'authentique risquent de trouver ça trop aseptisé, et les autres pas assez "safe"... Faut pas les brusquer, hein ! 😉 Faut doser, mais c'est pas évident !
VerseVoyager16, super que tu sois inspirée par cette discussion ! 🤗 Mais du coup, tu vas creuser quoi exactement ? Des pays en particulier ? Des types de cuisine ? Fais-nous part de tes trouvailles, hein ! 😉
Coco, pour mixer les approches, tu pourrais peut-être proposer des "options" dans tes circuits "SaveursduMonde". Genre, le resto occidental avec une touche locale, mais aussi la possibilité de tester un truc plus roots (avec un guide, bien sûr, pour rassurer les plus frileux 😅). Comme ça, chacun y trouve son compte, non ? 😉
AventureEclaire72, l'idée est séduisante, mais ne risque-t-on pas de diluer l'expérience ? Proposer une option "roots" dans un circuit axé sur des saveurs plus convenues... Est-ce que ça ne reviendrait pas à faire du tourisme culinaire "light", sans vraiment s'immerger ? Je me demande si le contraste ne serait pas trop fort pour la clientèle "SaveursduMonde", et si les aventuriers des papilles n'y verraient pas une forme de compromission.
Mouais, VerseVoyager16, tu touches un point sensible. C'est toujours la quadrature du cercle, cette histoire d'équilibre entre "safe" et "authentique".
Si on regarde les chiffres, la France attire 100 millions de touristes, ok, mais combien d'entre eux cherchent vraiment l'immersion culinaire *hardcore* ? Probablement une minorité. La majorité, elle veut du "local" mais sans les risques sanitaires et les codes culturels trop déroutants. D'ailleurs, on sait que les Américains sont ceux qui voyagent le plus, suivis par les Chinois et les Allemands. Est-ce qu'on imagine vraiment le touriste américain moyen prêt à bouffer des insectes grillés au fin fond du Bangladesh, même en option ? J'ai des doutes. Pareil pour le touriste allemand lambda, qui apprécie la cuisine locale, mais avec un certain confort.
Faut pas se leurrer, VerseVoyager16, l'immersion totale, c'est un produit de niche. Et vouloir l'intégrer à une offre plus "grandpublic", c'est risquer de dénaturer les deux. Après, l'idée d'AventureEclaire72 d'une option "roots" peut marcher, mais à condition de bien la marketer. Faut insister sur le côté "expérienceunique", "découverteinsolite", etc. Et surtout, faut bien briefer les guides pour qu'ils ne présentent pas ça comme une obligation, mais comme un bonus pour les plus audacieux. Mais bon, perso, je resterais prudente. Mieux vaut deux offres claires et distinctes qu'un truc hybride qui risque de ne satisfaire personne, même si les français sont 5eme en nombre de voyageur.
Le risque, c'est de tomber dans le cliché du "tourismepourtouristes", celui qui prétend montrer l'authentique mais qui n'est qu'une pâle copie. Et ça, c'est le pire, car ça déçoit tout le monde. Autant assumer clairement qu'on s'adresse à une clientèle qui recherche un certain confort et adapter l'offre en conséquence, non ?
Si je résume, Mama Coco cherche à savoir si la densité de population d'un pays influe sur la richesse et la diversité de son offre culinaire, en particulier pour deux types de clientèle : les aventuriers culinaires et ceux qui préfèrent des saveurs plus occidentalisées. On a exploré l'idée de mixer les approches, mais le risque de diluer l'expérience et de ne satisfaire personne a été souligné. On en est là.
Richter, merci pour ce résumé.
Dans l'optique d'aider Coco, je pense qu'il peut être intéressant de regarder des exemples concrets de pays très denses. Cette vidéo sur le Bangladesh donne un aperçu des défis liés à la forte densité, mais aussi de la richesse culturelle qui peut en découler, notamment au niveau culinaire
La vidéo est intéressante, ça donne une idée de l'ambiance. D'ailleurs, en parlant de vidéos, je suis tombée sur un truc dingue sur le Japon, un reportage sur les pêches miraculeuses, ces fameuses pêches carrées... Bon, ok, c'est hors-sujet, mais ça illustre bien comment un pays peut développer des spécificités culinaires uniques.
Pour revenir à Coco, je pense que l'idée d'explorer des pays très denses comme le Bangladesh est une bonne piste. Faut juste bien préparer le terrain pour les clients, surtout ceux de la gamme "SaveursduMonde".
Commentaires (17)
L'authenticité, c'est surfait. Faut voir ce qui fait le plus de clics, Coco. La densité, c'est du chiffre, donc potentiellement vendeur. Vends du rêve, pas du vécu !
Euh, vendre du rêve c'est une option, mais je pense qu'il y a moyen de faire les deux, non ? Les chiffres c'est bien pour se donner une idée, après faut quand même que les gens vivent une expérience... Enfin, c'est mon avis, hein !
Expérience ET rêve, c'est le combo gagnant. Les chiffres aident à cerner les tendances, après le terrain parle.
Du coup, Coco, tu penses à des pays en particulier avec ta question ? Histoire de voir si on peut te donner des exemples concrets, parce que la diversité culinaire, ça dépend aussi de l'histoire du pays, pas que de sa densité, non ?
Oui, tout à fait AventureEclaire72, tu as raison. En fait, je me demandais si par exemple, un pays comme le Bangladesh (très dense) offrait plus de "surprises" gustatives qu'un pays scandinave (beaucoup moins dense). Est-ce que la concentration de population crée une émulation culinaire, ou est-ce que l'histoire et les traditions priment, comme tu le dis ? 🤔 Je me pose la question pour adapter mes circuits, en fait. Faut-il privilégier la diversité "brute" ou l'authenticité historique ? C'est le serpent qui se mord la queue ! 😅 J'espère que c'est plus clair ! 😇
Juste pour être sûr, Coco, quand tu parles d'itinéraires gourmands, tu vises quel type de clientèle ? Plutôt le voyageur aventurier prêt à manger dans la rue, ou le touriste qui préfère les restos plus... disons, occidentalisés ? Parce que ça change pas mal la donne, niveau "authenticité" et "diversité", non ?
Richter, excellente question ! 👍 En fait, je cible les deux, mais pas en même temps ! 🤪 J'ai une gamme "AventurePapilles" pour les premiers, ceux qui veulent tester des trucs improbables et se fondre dans la culture locale (enfin, autant que faire se peut). Et une gamme "SaveursduMonde" pour les seconds, ceux qui veulent découvrir des cuisines étrangères sans trop s'éloigner de leurs repères. C'est pour ça que la question de la densité me travaille, en fait. Est-ce qu'un pays très dense propose plus d'options pour les deux gammes, ou est-ce que l'histoire et les traditions (et donc, potentiellement, une densité moins forte) sont plus intéressantes pour les "SaveursduMonde" ? J'espère que c'est plus clair, maintenant ! 🤗
Ok, donc deux clientèles bien distinctes. Dans ce cas, peut-être regarder au-delà de la densité, et te concentrer sur les influences historiques et les ressources locales de chaque pays ? Pour les "SaveursduMonde", tu pourrais même mixer les deux approches, non ?
Attends, Alice Dubois, mixer les approches, oui, mais comment concrètement ? Parce que le risque, c'est de perdre les deux clientèles, non ? Ceux qui veulent de l'authentique risquent de trouver ça trop aseptisé, et les autres pas assez "safe"... Faut pas les brusquer, hein ! 😉 Faut doser, mais c'est pas évident !
Bon point, Richter et Alice Dubois. Vos remarques m'aident beaucoup à y voir plus clair. Je vais creuser dans cette direction.
VerseVoyager16, super que tu sois inspirée par cette discussion ! 🤗 Mais du coup, tu vas creuser quoi exactement ? Des pays en particulier ? Des types de cuisine ? Fais-nous part de tes trouvailles, hein ! 😉
Coco, pour mixer les approches, tu pourrais peut-être proposer des "options" dans tes circuits "SaveursduMonde". Genre, le resto occidental avec une touche locale, mais aussi la possibilité de tester un truc plus roots (avec un guide, bien sûr, pour rassurer les plus frileux 😅). Comme ça, chacun y trouve son compte, non ? 😉
AventureEclaire72, l'idée est séduisante, mais ne risque-t-on pas de diluer l'expérience ? Proposer une option "roots" dans un circuit axé sur des saveurs plus convenues... Est-ce que ça ne reviendrait pas à faire du tourisme culinaire "light", sans vraiment s'immerger ? Je me demande si le contraste ne serait pas trop fort pour la clientèle "SaveursduMonde", et si les aventuriers des papilles n'y verraient pas une forme de compromission.
Mouais, VerseVoyager16, tu touches un point sensible. C'est toujours la quadrature du cercle, cette histoire d'équilibre entre "safe" et "authentique". Si on regarde les chiffres, la France attire 100 millions de touristes, ok, mais combien d'entre eux cherchent vraiment l'immersion culinaire *hardcore* ? Probablement une minorité. La majorité, elle veut du "local" mais sans les risques sanitaires et les codes culturels trop déroutants. D'ailleurs, on sait que les Américains sont ceux qui voyagent le plus, suivis par les Chinois et les Allemands. Est-ce qu'on imagine vraiment le touriste américain moyen prêt à bouffer des insectes grillés au fin fond du Bangladesh, même en option ? J'ai des doutes. Pareil pour le touriste allemand lambda, qui apprécie la cuisine locale, mais avec un certain confort. Faut pas se leurrer, VerseVoyager16, l'immersion totale, c'est un produit de niche. Et vouloir l'intégrer à une offre plus "grandpublic", c'est risquer de dénaturer les deux. Après, l'idée d'AventureEclaire72 d'une option "roots" peut marcher, mais à condition de bien la marketer. Faut insister sur le côté "expérienceunique", "découverteinsolite", etc. Et surtout, faut bien briefer les guides pour qu'ils ne présentent pas ça comme une obligation, mais comme un bonus pour les plus audacieux. Mais bon, perso, je resterais prudente. Mieux vaut deux offres claires et distinctes qu'un truc hybride qui risque de ne satisfaire personne, même si les français sont 5eme en nombre de voyageur. Le risque, c'est de tomber dans le cliché du "tourismepourtouristes", celui qui prétend montrer l'authentique mais qui n'est qu'une pâle copie. Et ça, c'est le pire, car ça déçoit tout le monde. Autant assumer clairement qu'on s'adresse à une clientèle qui recherche un certain confort et adapter l'offre en conséquence, non ?
Si je résume, Mama Coco cherche à savoir si la densité de population d'un pays influe sur la richesse et la diversité de son offre culinaire, en particulier pour deux types de clientèle : les aventuriers culinaires et ceux qui préfèrent des saveurs plus occidentalisées. On a exploré l'idée de mixer les approches, mais le risque de diluer l'expérience et de ne satisfaire personne a été souligné. On en est là.
Richter, merci pour ce résumé. Dans l'optique d'aider Coco, je pense qu'il peut être intéressant de regarder des exemples concrets de pays très denses. Cette vidéo sur le Bangladesh donne un aperçu des défis liés à la forte densité, mais aussi de la richesse culturelle qui peut en découler, notamment au niveau culinaire
https://www.youtube.com/watch?v=20zkKKDdFvc[/video].
La vidéo est intéressante, ça donne une idée de l'ambiance. D'ailleurs, en parlant de vidéos, je suis tombée sur un truc dingue sur le Japon, un reportage sur les pêches miraculeuses, ces fameuses pêches carrées... Bon, ok, c'est hors-sujet, mais ça illustre bien comment un pays peut développer des spécificités culinaires uniques. Pour revenir à Coco, je pense que l'idée d'explorer des pays très denses comme le Bangladesh est une bonne piste. Faut juste bien préparer le terrain pour les clients, surtout ceux de la gamme "SaveursduMonde".