Je comprends tout à fait ce que tu ressens. Ce 'deuil', comme tu dis, je le connais bien. Ce qui marche pas mal pour moi, c'est de trier et d'organiser mes photos assez vite après le retour. Les retoucher un peu, faire un petit montage vidéo... Ça me permet de revivre le voyage, de le digérer en douceur au lieu de le couper brutalement.
Yep, le retour c'est jamais facile 😥. Tu parles de "deuil", c'est intense dis donc ! Pour bien cerner, c'est le rythme du voyage qui te manque le plus, ou plutot les rencontres, les paysages...? J'essaie de voir si on parle bien de la même chose 😉
En fait, je crois que c'est un peu un mélange des deux, le rythme et les rencontres... et l'absence de routine aussi, je pense. 🤔 C'est le fait de ne plus avoir cette stimulation constante de la nouveauté, de retomber dans le quotidien qui peut sembler fade en comparaison. 😔 Et puis, oui, les rencontres qu'on fait en voyage sont souvent très fortes, et le fait de les quitter, même si on savait que c'etait temporaire, c'est pas toujours facile. J'espère que c'est plus clair ! 🙏
Ah, la fameuse déprime post-voyage... Je compatis.
Dans le genre "inspiration" pour se remotiver après un trip, j'avais bien aimé cette vidéo, c'est un peu niais, mais parfois ça fait du bien
https://www.youtube.com/watch?v=Wvf94bCcF9I[/video]
(Le titre c'est "Quelquestrucspour...éviterladéprimepost-voyage" et la description "HellohellolesFashiz!Voiciunenouvellecatégoriedevideosurmachaine,jemesenshyper''inspirée''encemoment,j'espère...")
Ah, les Fashiz... j'avoue que le nom me fait tiquer, mais bon, si la vidéo aide, tant mieux ! Perso, les vidéos de ce genre, ça me gonfle vite, je préfère un bon bouquin sur le sujet... mais chacun son truc. Sinon, pour revenir à la question de base, je pense que se replonger dans ses passions, ça aide pas mal aussi. Moi, le métal, le cuir, un bon vinyle, ça me recentre direct.
Bon, je voulais vous donner un petit retour suite à vos conseils. J'ai testé le truc des photos d'Équilibre, et c'est vrai que ça aide pas mal à faire la transition. J'ai passé une bonne partie du week-end à trier, retoucher, et finalement, à faire un petit album photo en ligne. C'est moins "brutal" comme retour, on va dire.
Pour la vidéo d'AventureEclaire72, j'ai regardé... bon, c'est pas trop mon style, mais j'ai pigé l'idée de se recentrer sur soi. Du coup, j'ai repris un peu la course, ça fait du bien de se dépenser physiquement.
Merci pour vos suggestions en tout cas ! Ça m'a aidée à remonter la pente un peu plus vite que d'habitude. 🙂
Tiens, l'introspection post-voyage... Intéressant. On dirait que personne n'a encore osé le dire, mais la vraie solution, c'est de planifier le prochain avant même d'avoir défait ses valises. Comme ça, pas le temps pour la mélancolie ! 😉
Ah, pas mal comme solution ! L'anticipation, c'est la clé, en effet. 😄 Moi, ça me donne une bonne raison de potasser les guides en attendant, et de rêver un peu, c'est toujours sympa.
C'est une approche... radicale ! Mais je comprends l'idée. Perso, j'ai plus de mal à me projeter comme ça, j'ai besoin d'un temps de "digestion" entre deux trips, sinon j'ai l'impression de ne pas profiter pleinement.
Mais c'est vrai que l'organisation, c'est un bon truc anti-blues. D'ailleurs, ça me fait penser que je dois ranger mes papiers pour la prochaine fois, c'est toujours une galère sinon !
Merci pour cette suggestion ! C'est vrai que l'organisation, c'est un bon moyen de se sentir utile et de se projeter positivement. Je vais essayer de m'y mettre, ça me fera patienter en attendant la prochaine échéance. 😊
C'est intéressant cette idée de se sentir utile... et puis, ça correspond bien à ce que je remarque dans mon travail. On a fait une petite enquête l'année dernière auprès de nos clients, et ceux qui disaient le mieux gérer le retour de voyage étaient souvent ceux qui avaient un projet concret lié à ce voyage, même tout petit. Genre, apprendre quelques mots de la langue locale, ou refaire une recette typique, un truc comme ça. C'est peut-être un peu simpliste, mais ça leur donnait une sorte de prolongation, une manière de ne pas complètement couper le cordon. On avait noté une différence de satisfaction d'environ 15% entre ceux qui avaient ce "projet" et les autres. Pas négligeable !
Après, c'est sûr que chacun a sa propre méthode. Certains ont besoin de plus de temps pour intégrer l'expérience, d'autres ont besoin de passer à autre chose très vite. Mais je pense que l'idée de l'organisation, c'est une bonne piste, même si c'est juste pour se faciliter la vie administrativement, comme tu dis Richter. Ça permet de se sentir maître de son quotidien, et ça, c'est toujours positif pour le moral.
Et puis, il ne faut pas hésiter à partager ses souvenirs avec ses proches. J'ai remarqué que ceux qui se repliaient sur eux-mêmes avaient plus de mal à surmonter la mélancolie. En parler, montrer ses photos, raconter ses anecdotes, c'est une façon de faire vivre le voyage une deuxième fois, et de le rendre moins... solitaire. Nos données montraient que les clients qui partageaient activement leurs expériences de voyage sur les réseaux sociaux ou avec leurs amis avaient une perception du retour améliorée de près de 20%.
C'est bien vrai tout ça ! Perso, j'ramène toujours des épices, et j'essaie de refaire les plats que j'ai goûtés... ça prolonge le voyage, et ça fait voyager les autres aussi ! C'est la base, non ?
Bonjour,
Je trouve votre enquête très instructive. Cependant, pourriez-vous développer un peu plus le type de questions posées à vos clients ? Je suis curieuse de connaître la formulation exacte qui a permis de mettre en évidence ce lien entre projet post-voyage et bien-être.
Merci d'avance pour vos précisions.
En fait, on n'avait pas de questions *directes* sur le "bien-être", c'était plus indirect. On demandait des trucs du genre :
* "Dansquellemesurediriez-vousquevotreexpériencedevoyagearéponduàvosattentes?"
* "Quelestvotreniveaudesatisfactionglobalconcernantvotrevoyage?"
* "Avez-vousressentiunebaissedemoralparticulièreaprèsvotreretour?Sioui,commentl'avez-vousgérée?"
* "Quellesontétélespremièresactivitésoutâchesquevousavezentreprisesaprèsvotreretour?"
Ensuite, on croisait ces réponses avec d'autres données qu'on avait sur leurs habitudes de voyage (fréquence, type de voyage, etc.) et sur leur profil socio-démographique. C'est en analysant ces croisements qu'on a pu identifier des tendances, comme le lien entre les projets post-voyage et une meilleure satisfaction globale. J'espère que c'est plus clair !
Pour compléter l'idée de Mama Coco, une autre approche concrète serait de tenir un journal de bord pendant le voyage, et de continuer à l'écrire après le retour. Cela permet de structurer ses souvenirs, de les analyser, et de transformer la mélancolie en une réflexion plus profonde sur soi-même et sur ses aspirations. On peut y noter ses réflexions, ses sentiments, ses projets, et même des croquis ou des collages. C'est un peu comme créer son propre "projet" post-voyage, mais de manière plus personnelle et introspective.
En gros, on a exploré pas mal de pistes pour gérer le blues du retour, hein... Les photos, les vidéos, se replonger dans ses passions, l'organisation du prochain voyage (même si c'est un peu radical pour certains !), et surtout, l'idée de se lancer dans un projet concret lié au voyage, que ce soit apprendre la langue, cuisiner des plats locaux, ou simplement partager ses souvenirs. On dirait que le but, c'est surtout de ne pas couper le cordon trop brutalement et de se sentir utile, d'une manière ou d'une autre... C'est super intéressant tout ça !
Commentaires (16)
Je comprends tout à fait ce que tu ressens. Ce 'deuil', comme tu dis, je le connais bien. Ce qui marche pas mal pour moi, c'est de trier et d'organiser mes photos assez vite après le retour. Les retoucher un peu, faire un petit montage vidéo... Ça me permet de revivre le voyage, de le digérer en douceur au lieu de le couper brutalement.
Yep, le retour c'est jamais facile 😥. Tu parles de "deuil", c'est intense dis donc ! Pour bien cerner, c'est le rythme du voyage qui te manque le plus, ou plutot les rencontres, les paysages...? J'essaie de voir si on parle bien de la même chose 😉
En fait, je crois que c'est un peu un mélange des deux, le rythme et les rencontres... et l'absence de routine aussi, je pense. 🤔 C'est le fait de ne plus avoir cette stimulation constante de la nouveauté, de retomber dans le quotidien qui peut sembler fade en comparaison. 😔 Et puis, oui, les rencontres qu'on fait en voyage sont souvent très fortes, et le fait de les quitter, même si on savait que c'etait temporaire, c'est pas toujours facile. J'espère que c'est plus clair ! 🙏
Ah, la fameuse déprime post-voyage... Je compatis. Dans le genre "inspiration" pour se remotiver après un trip, j'avais bien aimé cette vidéo, c'est un peu niais, mais parfois ça fait du bien
https://www.youtube.com/watch?v=Wvf94bCcF9I[/video] (Le titre c'est "Quelquestrucspour...éviterladéprimepost-voyage" et la description "HellohellolesFashiz!Voiciunenouvellecatégoriedevideosurmachaine,jemesenshyper''inspirée''encemoment,j'espère...")
Ah, les Fashiz... j'avoue que le nom me fait tiquer, mais bon, si la vidéo aide, tant mieux ! Perso, les vidéos de ce genre, ça me gonfle vite, je préfère un bon bouquin sur le sujet... mais chacun son truc. Sinon, pour revenir à la question de base, je pense que se replonger dans ses passions, ça aide pas mal aussi. Moi, le métal, le cuir, un bon vinyle, ça me recentre direct.
Bon, je voulais vous donner un petit retour suite à vos conseils. J'ai testé le truc des photos d'Équilibre, et c'est vrai que ça aide pas mal à faire la transition. J'ai passé une bonne partie du week-end à trier, retoucher, et finalement, à faire un petit album photo en ligne. C'est moins "brutal" comme retour, on va dire. Pour la vidéo d'AventureEclaire72, j'ai regardé... bon, c'est pas trop mon style, mais j'ai pigé l'idée de se recentrer sur soi. Du coup, j'ai repris un peu la course, ça fait du bien de se dépenser physiquement. Merci pour vos suggestions en tout cas ! Ça m'a aidée à remonter la pente un peu plus vite que d'habitude. 🙂
Tiens, l'introspection post-voyage... Intéressant. On dirait que personne n'a encore osé le dire, mais la vraie solution, c'est de planifier le prochain avant même d'avoir défait ses valises. Comme ça, pas le temps pour la mélancolie ! 😉
Ah, pas mal comme solution ! L'anticipation, c'est la clé, en effet. 😄 Moi, ça me donne une bonne raison de potasser les guides en attendant, et de rêver un peu, c'est toujours sympa.
C'est une approche... radicale ! Mais je comprends l'idée. Perso, j'ai plus de mal à me projeter comme ça, j'ai besoin d'un temps de "digestion" entre deux trips, sinon j'ai l'impression de ne pas profiter pleinement. Mais c'est vrai que l'organisation, c'est un bon truc anti-blues. D'ailleurs, ça me fait penser que je dois ranger mes papiers pour la prochaine fois, c'est toujours une galère sinon !
Merci pour cette suggestion ! C'est vrai que l'organisation, c'est un bon moyen de se sentir utile et de se projeter positivement. Je vais essayer de m'y mettre, ça me fera patienter en attendant la prochaine échéance. 😊
C'est intéressant cette idée de se sentir utile... et puis, ça correspond bien à ce que je remarque dans mon travail. On a fait une petite enquête l'année dernière auprès de nos clients, et ceux qui disaient le mieux gérer le retour de voyage étaient souvent ceux qui avaient un projet concret lié à ce voyage, même tout petit. Genre, apprendre quelques mots de la langue locale, ou refaire une recette typique, un truc comme ça. C'est peut-être un peu simpliste, mais ça leur donnait une sorte de prolongation, une manière de ne pas complètement couper le cordon. On avait noté une différence de satisfaction d'environ 15% entre ceux qui avaient ce "projet" et les autres. Pas négligeable ! Après, c'est sûr que chacun a sa propre méthode. Certains ont besoin de plus de temps pour intégrer l'expérience, d'autres ont besoin de passer à autre chose très vite. Mais je pense que l'idée de l'organisation, c'est une bonne piste, même si c'est juste pour se faciliter la vie administrativement, comme tu dis Richter. Ça permet de se sentir maître de son quotidien, et ça, c'est toujours positif pour le moral. Et puis, il ne faut pas hésiter à partager ses souvenirs avec ses proches. J'ai remarqué que ceux qui se repliaient sur eux-mêmes avaient plus de mal à surmonter la mélancolie. En parler, montrer ses photos, raconter ses anecdotes, c'est une façon de faire vivre le voyage une deuxième fois, et de le rendre moins... solitaire. Nos données montraient que les clients qui partageaient activement leurs expériences de voyage sur les réseaux sociaux ou avec leurs amis avaient une perception du retour améliorée de près de 20%.
C'est bien vrai tout ça ! Perso, j'ramène toujours des épices, et j'essaie de refaire les plats que j'ai goûtés... ça prolonge le voyage, et ça fait voyager les autres aussi ! C'est la base, non ?
Bonjour, Je trouve votre enquête très instructive. Cependant, pourriez-vous développer un peu plus le type de questions posées à vos clients ? Je suis curieuse de connaître la formulation exacte qui a permis de mettre en évidence ce lien entre projet post-voyage et bien-être. Merci d'avance pour vos précisions.
En fait, on n'avait pas de questions *directes* sur le "bien-être", c'était plus indirect. On demandait des trucs du genre : * "Dansquellemesurediriez-vousquevotreexpériencedevoyagearéponduàvosattentes?" * "Quelestvotreniveaudesatisfactionglobalconcernantvotrevoyage?" * "Avez-vousressentiunebaissedemoralparticulièreaprèsvotreretour?Sioui,commentl'avez-vousgérée?" * "Quellesontétélespremièresactivitésoutâchesquevousavezentreprisesaprèsvotreretour?" Ensuite, on croisait ces réponses avec d'autres données qu'on avait sur leurs habitudes de voyage (fréquence, type de voyage, etc.) et sur leur profil socio-démographique. C'est en analysant ces croisements qu'on a pu identifier des tendances, comme le lien entre les projets post-voyage et une meilleure satisfaction globale. J'espère que c'est plus clair !
Pour compléter l'idée de Mama Coco, une autre approche concrète serait de tenir un journal de bord pendant le voyage, et de continuer à l'écrire après le retour. Cela permet de structurer ses souvenirs, de les analyser, et de transformer la mélancolie en une réflexion plus profonde sur soi-même et sur ses aspirations. On peut y noter ses réflexions, ses sentiments, ses projets, et même des croquis ou des collages. C'est un peu comme créer son propre "projet" post-voyage, mais de manière plus personnelle et introspective.
En gros, on a exploré pas mal de pistes pour gérer le blues du retour, hein... Les photos, les vidéos, se replonger dans ses passions, l'organisation du prochain voyage (même si c'est un peu radical pour certains !), et surtout, l'idée de se lancer dans un projet concret lié au voyage, que ce soit apprendre la langue, cuisiner des plats locaux, ou simplement partager ses souvenirs. On dirait que le but, c'est surtout de ne pas couper le cordon trop brutalement et de se sentir utile, d'une manière ou d'une autre... C'est super intéressant tout ça !